C’était le 8 avril dernier, dans le cadre prestigieux du Casino Viage à Bruxelles. En présence d’un parterre d’invités, d’artistes, de personnalités, 14 Queens originaires d’Afrique de l’Ouest concourraient pour le titre de Miss West Africa Belgique 2017. Pascaline Amaglo, notre Miss Togo Diaspora 2017, a eu l’honneur de faire partie des membres du jury. Retour sur cette mémorable soirée.
Le Togo bien représenté
L’événement a réuni les candidates de 14 pays d’Afrique de l’Ouest :
le Sénégal, la Gambie, le Liberia, le Burkina Faso, le Nigéria, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, le Cap-Vert, le Ghana, le Niger, la Guinée, le Mali, la Sierra Leone et bien entendu le Togo.
Parmi elles, une jeune femme que vous connaissez déjà. Juanita D’Almeida, ancienne candidate de l’édition de Miss Togo Diaspora 2017, nous a offert un bel aperçu de ses talents et de sa beauté.
De Miss à Membre de jury
Les jeunes femmes ont présenté les danses traditionnelles de leur pays respectif, défilé en tenue de ville et de soirée, répondu à des questions de culture sur l’Afrique de l’Ouest et exposé un projet social qui leur tenait à cœur. C’est au bout de ces 5 épreuves qu’il a fallu faire le choix des lauréates. « Ce n’était pas évident, il y a eu d’âpres discussions. Mais ce fut pour moi une expérience enrichissante. » nous a confié Pascaline Amaglo.
Aux termes de la délibération du jury, c’est finalement Aisha Barry (Guinée Conakry) qui fut couronnée Miss West Africa Belgique, Faaly Gueye (Sénégal) 1ère Dauphine, Naomi Sanaba N’drin (Côte d’ivoire) 2ème Dauphine et Joséphine (Sierra Léone) Miss Public.
Un nouvel élan social
Miss West Africa est un concours qui se veut le symbole de la diversité culturelle, des valeurs et de l’unité ouest-africaines. Nous avons pu constater avec plaisir que le modèle de l’association Miss Togo Diaspora fait des émules et en inspire plus d’un. En effet, pour la première fois depuis la création du concours Miss West Africa Belgium, les élues auront la possibilité de réaliser un projet social avec l’appui du comité d’organisation et de ses partenaires, comme le souhaite désormais le président El Hadj Sène.
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